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« Faire de la Haute-Garonne, la destination de référence du tourisme durable », telle est l’ambition de Loïc Gojard, qui vient de prendre la présidence de Haute-Garonne Tourisme, l’organisme en charge de la promotion et du développement touristique dans le département. Il a été désigné à l’issue du dernier conseil d’administration de Haute-Garonne Tourisme qui s’est tenu le mardi 30 avril 2024.

Titulaire d’un doctorat en sciences du sport de l’Université de Toulouse, il a été enseignant à l’université Toulouse III Paul Sabatier, puis responsable de l’observatoire de la vie étudiante au sein de cette même université et enfin, de 2016 à 2021, responsable administratif et financier du Service commun universitaire d’information, d’orientation et d’insertion professionnelle de l’université Toulouse Jean Jaurès.

Maire de Martres-Tolosane depuis 2018, Loïc Gojard a été élu en 2021 conseiller départemental du canton de Cazères. Il succède à la tête de Haute-Garonne Tourisme à Didier Cujives, qui a exercé ces fonctions pendant neuf ans. « Développer le tourisme pour tous en intégrant les nouveaux modes de consommation touristique et le numérique est essentiel pour assurer la durabilité et la croissance de ce secteur économique en Haute-Garonne, estime le nouveau président. Je travaillerai également à renforcer l’offre de la destination et son déploiement en intégrant l’innovation sur tout le territoire. »

Parmi les axes structurants de son action, Loïc Gojard a rappelé la nécessité de miser sur la qualité et la compétitivité de l’offre touristique. « En travaillant sur les marques (Labels nationaux, certifications…) et la formation, Haute-Garonne Tourisme s’est engagé à offrir des expériences exceptionnelles à nos visiteurs et touristes, tout en renforçant la renommée de notre destination durable. En accord avec la politique touristique menée par le Conseil départemental, l’introduction d’un nouveau schéma du tourisme durable prévu pour la fin 2025 permettra d’aligner de nouvelles stratégies de développement d’un tourisme responsable avec des objectifs ambitieux, défi dans lequel je souhaite m’investir », a conclu Loïc Gojard lors de sa prise de fonction.

La troisième conférence internationale ICCAS se tiendra les 16 et 17 mai sur le campus de l’ISAE-SUPAERO à Toulouse. Elle réunit des scientifiques de renommée mondiale autour des systèmes aériens cognitifs appelés aussi les assistants virtuels au pilotage des cockpits du futur. Elle s’intéresse cette année plus particulièrement à l’intelligence artificielle.

ICCAS – pour International Conference on Cognitive Aircraft Systems – émane des volontés communes de Dassault Aviation et de l’ISAE-SUPAERO de fédérer une communauté internationale de chercheurs et d’industriels impliqués dans la conception de systèmes aéronautiques intelligents, fiables, capables d’interagir avec les pilotes ou les opérateurs dans un souci de sécurité et de performance accrues. Elle s’inscrit dans le cadre de la chaire Conception et architecture des systèmes aériens cognitifs, un partenariat de recherche entre Dassault Aviation et l’ISAE-SUPAERO focalisé sur la neuroergonomie et l’intelligence artificielle.

Dans les nouvelles générations d’avions civils et militaires, les opérations sont de plus en plus complexes. Le nombre de tâches déléguées à la machine est tel que les pilotes endossent un véritable rôle de superviseur, entraînant pour eux de nouvelles responsabilités. Et si la machine pouvait assister les pilotes dans leurs opérations, dans une perspective de coopération humain-machine ? Une machine qui serait en capacité de détecter la fatigue, la baisse de vigilance, le stress ou même une confiance excessive dans les automatismes, et de s’adapter à la situation.

Pour débattre de ces questions, des chercheurs de renommée mondiale sont attendus tels que Randy Mumaw, chercheur à l’université de San Jose (États-Unis) et à l’Aerospace Cognitive Engineering Lab de la NASA, ou encore Fabien Lotte, chercheur à l’INRIA de Bordeaux et lauréat de la prestigieuse bourse européenne ERC pour ses travaux sur l’augmentation de la fiabilité des interfaces cerveau-ordinateur.

La conférence ICCAS est notamment organisée par deux chercheurs de l’ISAE-SUPAERO, Caroline Chanel et Mickaël Causse. Caroline Chanel, chercheuse en conduite des systèmes autonomes, intelligence artificielle et interaction humain-système, s’intéresse par exemple à des méthodes de prise de décision visant à capter les états ou les intentions des pilotes pour leur proposer une réponse adaptée. Les travaux récents de Mickaël Causse, chercheur en neurosciences, portent sur l’étude de l’effet de sursaut (startle reflex) des pilotes dans le but de prévenir un état incapacitant.

En 2022, la deuxième édition de la conférence ICCAS avait réuni sur le campus de l’ISAE-SUPAERO pas moins de 180 participants de 23 pays issus de la recherche et du monde de l’industrie aéronautique.

Pour soutenir le déploiement de son nouveau plan stratégique PILOT 28, le groupe lotois Figeac Aéro, partenaire de référence des grands industriels de l’aéronautique, spécialiste de la production de pièces de structure en alliages légers et en métaux durs, de pièces de moteurs, de trains d’atterrissage et de sous-ensembles, annonce l’arrivée au sein de son comité exécutif de trois nouveaux membres. Il s’agit de Nicolas Fabre, Michel Petit et Camille Traineau. Cette évolution vise à renforcer les capacités du groupe tant sur le plan industriel que commercial.

Nicolas Fabre, 43 ans, est un ingénieur en Informatique diplômé de l’ENSEEIHT. Il cumule plus de 15 ans d’expérience notamment au sein de la société de services informatiques CS Group, où il avait notamment en charge la déclinaison de la stratégie groupe et le pilotage de multiples sites au sein d’une business unit de 650 ingénieurs.

Spécialiste du génie mécanique dans le domaine de l’aéronautique, Michel Petit compte près de 30 ans d’expérience au sein du groupe. Il a principalement évolué au sein des services Méthodes, puis a occupé le poste de responsable de Business Units. Avant sa nomination actuelle, il était directeur technique du site d’Aulnat (63).

Nicolas Fabre et Michel Petit auront pour mission d’améliorer l’efficience du modèle de Figeac Aéro au travers notamment la transformation digitale du Groupe, la standardisation du modèle de gestion de la production et l’optimisation des capacités techniques. Ils rejoignent le comité exécutif en qualité de directeur du plan de transformation et de directeur technique Groupe.

Camille Traineau rejoint le comité exécutif en qualité de directeur des ventes services et partenariats stratégiques. Âgé de 36 ans, il est diplômé des Mines Saint-Étienne et de l’École Centrale Paris. Il a rejoint le groupe Figeac Aéro en 2013, où il a occupé diverses fonctions commerciales. Il a notamment été impliqué dans le développement du marché nord-américain, puis a pris en charge les relations investisseurs et le M&A, avant d’effectuer une mission en tant que directeur général de SFAM, la co-entreprise du groupe en Arabie Saoudite. Camille Traineau a pour mission de structurer l’activité commerciale en coopération avec l’équipe de vente.

Au 31 mars 2023, le groupe, qui emploie 3400 salariés dans le monde, a réalisé un chiffre d’affaires annuel de 341,6 M€. Il vise de 550 à 600 M€ de chiffre d’affaires à l’horizon 2028.

À l’occasion d’un nouveau tour de table, auquel ont participé ses actionnaires historiques dont IRDI Capital Croissance, NMP Développement, Bruno Blanc-Fontenille et Pierre Emmanuel Langlois, le groupe toulousain Yrcam voit sa gouvernance évoluer. Devenu à cette occasion actionnaire majoritaire, Christophe Molinié en est en effet le nouveau président. Le directeur général du groupe, Alexis Kuznik, qui devient également actionnaire, voit l’arrivée à ses côtés de Christophe Durenque, nommé directeur Partenariats & le Développement d’YRCAM.

Né de la fusion des sociétés Igrec et Rafale, YRCAM était initialement spécialisé dans la relance, le recouvrement et le risque crédit. Il intervient aujourd’hui à chaque étape de la vie d’une entreprise. Il propose en effet une large gamme de services qui visent : l’amélioration des performances commerciales avec des fonctions de prospection, négociation et administration des ventes ; l’efficience administrative pendant la vie du contrat (assistanat achat opérationnel, lettrage comptable, délégation de gestion des comptes bancaires, résolution des litiges) ; et la réduction des délais d’encaissement avec trois actions principales : facturation, relance, recouvrement.

La nouvelle équipe dirigeante s’est donné pour ambition d’accélérer la croissance entamée depuis cinq ans après la phase d’extension de l’offre d’externalisation de la gestion de trésorerie vers le support commercial et opérationnel.

« Je suis heureux de reprendre la présidence de cette société dont les résultats et le soutien d’actionnaires historiques témoignent de la solidité. Je félicite les dirigeants qui ont su développer l’offre d’YRCAM, historiquement spécialisé dans les métiers du poste client, pour répondre à un besoin d’externalisation tout au long du cycle de vie d’une affaire. Le contexte d’un marché porteur, la qualité de nos équipes basées en France, nous permettent d’espérer doubler notre CA en cinq ans et positionner YRCAM parmi les acteurs européens de référence », indique Christophe Molinié dans un communiqué daté du 29 avril 2024.

Créé en 1993, le groupe Yrcam emploie 120 salariés répartis sur trois site en France : Toulouse et Caraman en Haute-Garonne et Mauguio dans l’Hérault. En 2023, il a réalisé plus de 6 M€ de chiffre d’affaires, en progression de 13 % sur un an.

Concevoir des cockpits intelligents, améliorer la collaboration entre l’équipage et les systèmes automatisés de contrôle d’un appareil, entraîner la flexibilité du cerveau, tels sont les travaux sur lesquels se penchent 15 chercheuses et chercheurs en neuroergonomie de l’ISAE-SUPAERO à Toulouse. Pour mener ces recherches, le laboratoire fait appel à des volontaires pour participer à des expériences portant sur l’interaction humains-robot, l’attention auditive, la fatigue mentale ou encore l’orientation spatiale lors du mouvement corporel.

L’école d’ingénieurs recrute actuellement des candidats pour participer à des tests de l’attention auditive. Lors de cinq sessions consécutives, les participants seront amenés à réaliser différentes tâches durant lesquelles les signaux du cerveau seront enregistrés à l’aide d’un casque EEG (électroencéphalographie). Les chercheurs souhaitent en effet connaître les effets de différents entraînements cognitifs ou auditifs sur l’effort d’écoute, c’est-à-dire l’effort fournit spécifiquement dans des tâches d’audition complexes (bruit, parasitages, etc.).

Pour participer à cette expérience qui dure de 45 minutes et de 1 h 30, il faut avoir moins de 40 ans, être de langue maternelle française, ne pas avoir d’antécédent neurologique ou de trouble de l’audition. Le dédommagement offert est de 60€ pour une participation à l’ensemble du dispositif.
Pour participer à cette étude, cliquez ici.

L’’ISAE-SUPAERO recherche une seconde cohorte de volontaires pour participer à des tests sur le mouvement du corps et les performances lors d’opérations à distance. Cette expérience en réalité virtuelle comprend deux tâches à effectuer : l’une de perception verticale et la seconde consiste à téléopérer un vaisseau spatial depuis une plateforme de mouvement qui modulera l’orientation et les mouvements du corps. Cette expérience va permettre de mesurer l’impact du mouvement du corps sur les performances de téléopération (opérations conduites à distance). Pour participer à cette expérience qui dure environ 1 heure, il faut être âgé de 18 à 60 ans, avoir une vision normale (naturelle ou corrigée) et ne pas être sensible au mal des transports.

Pour participer à cette étude, cliquez ici.

L’IUCT-Oncopole, centre de soin, de recherche et de formation en cancérologie regroupe à Toulouse (Haute-Garonne) l’expertise de 1 800 professionnels sur un même site labellisé « Comprehensive Cancer Center ». Il combine plusieurs installations cliniques de pointe pour le traitement du cancer avec une infrastructure de recherche de classe mondiale, sur un campus intégré qui rassemble des parties prenantes publiques et privées, y compris des partenaires industriels. L’IUCT-Oncopole, qui réunit Oncopole Claudius Regaud (centre de lutte contre le cancer) et plusieurs équipes du CHU de Toulouse, traite plus de 10 000 nouveaux patients chaque année, et plus d’un patient sur huit est inscrit dans des études cliniques.

Dans un communiqué daté du 24 avril 2024, l’IUCT-Oncopole a annoncé la nomination de Nathalie Curé comme nouvelle directrice des systèmes d’information et du numérique de l’Oncopole Claudius Regaud. Ses missions ? Porter, en lien avec la direction générale, la stratégie informatique et numérique de l’établissement toulousain, de développer et de sécuriser l’ensemble des infrastructures et des applicatifs, à l’aune d’un nouveau schéma directeur du système d’information et du numérique qui sera finalisé avant l’été 2024.

Ingénieur Centrale-Supélec, Nathalie Curé travaille depuis 20 ans dans les systèmes d’information et principalement dans le domaine de la santé. Elle a débuté sa carrière au Canada où elle a fait de la recherche biomédicale. De retour en France, elle a oeuvré pendant 10 ans en gestion de projets informatiques, notamment dans l’industrie pharmaceutique (UCB Pharma, Sanofi), dans l’administration française (DRESS), chez un éditeur de logiciel de pilotage de la production de médicaments (filiale Siemens) et aussi chez E. Leclerc ou Airbus.

Elle a ensuite été un poste chez Harmonie Mutuelle qui la positionne en production informatique, avant de rejoindre le groupe national d’expertise d’assurance Unions d’Experts puis Inovie Sud-Ouest, un acteur majeur du diagnostic médical où elle s’attache à construire un « socle technique solide qui permette de construire et d’innover » et lance ainsi des projets de transformation numérique.

Société coopérative d’intérêt collectif basée à Ramonville-Saint-Agne en Haute-Garonne, IéS - pour Initiatives pour une économie solidaire - collecte depuis plus de 25 ans l’épargne citoyenne pour financer des entreprises de la région Occitanie et développer l’emploi local.

Dans un communiqué du 23 avril 2024, la structure a annoncé avoir franchir le cap symbolique des 4 M€ investis depuis sa création en 1998. Dans le détail, la société toulousaine a financé à ce jour 180 entreprises, dont 75 sont en cours d’accompagnement, pour un total de 696 créations d’emplois.

Dernier investissement en date, l’accompagnement financier de Quercy Eco-Matériaux, à Livernon, dans le Lot (46). Cette coopérative commercialise des matériaux de construction respectueux de l’environnement, de la santé des artisans et des habitants des bâtiments fraîchement rénovés ou construits à destination des professionnels. Au-delà de la gamme de produits mis en vente, Quercy Eco-Matériaux se veut un lieu de ressource et de promotion des matériaux écologiques pour leurs spécificités, leurs performances et atouts mais aussi leur mise en oeuvre.

Mickaël Merz, président de Sporting Groupe, une entreprise familiale toulousaine spécialisée dans l’immobilier, prend la tête de l’ObserveR. Il succède à Laetitia Vidal récemment élue présidente de la Fédération des promoteurs immobiliers Toulouse Occitanie.

Créé en 2002, l’ObserveR, observatoire de l’immobilier toulousain, a pour vocation de donner une vision globale du marché de l’immobilier neuf à Toulouse et plus largement dans l’aire urbaine. Née de l’initiative de la Fédération des promoteurs de l’immobilier (FPI), de l’Union sociale de l’habitat (USH) et de l’Union nationale des aménageurs (Unam), il compte aujourd’hui 50 membres.

Ancien joueur professionnel du Fenix Toulouse Handball, Mickaël Merz, 42 ans, est diplômé d’un master 2 en management du sport de l’IAE de Toulouse. Il a entamé sa carrière entrepreneuriale en 2007 en fondant Sporting Comm’, l’agence de communication du groupe, couvrant les secteurs de l’immobilier, de l’architecture et du sport.

En 2009, l’entrepreneur a évolué au poste de directeur commercial de Sporting Promotion, avant de prendre la direction du groupe deux ans plus tard. Il est le créateur du deuxième Sporting Village à Blagnac, un tiers lieu au caractère sportif, prolongeant un concept lancé par son père en 1999. Ce projet a été salué en 2018 par la Pyramide d’Or de la mixité urbaine décernée par la FPI.

Depuis 2021, Mickaël Merz est engagé au sein de la FPI de Toulouse Occitanie, dont il est membre du bureau.

Entreprise de Services Numériques spécialisée dans les systèmes connectés présente à Toulouse et Montpellier, le groupe IT Link France recrute une trentaine de profils pour accompagner ses clients d’Occitanie dans leurs projets d’innovation et de transformation, des technologies embarquées à l’application métier en passant par le cloud et la science des données.

A Toulouse, IT Link cherche des profils du BAC + 2 au BAC + 5, pour des postes dans l’électronique, la microélectronique et les systèmes embarqués et dans le domaine applicatif, ainsi que des ingénieurs systèmes et réseaux.

A Montpellier, l’entreprise recrute des ingénieurs en contrôle commande, des ingénieurs protections électriques, des ingénieurs en développement, des ingénieurs test et validation système.

Forte de 850 salariés présente sur 15 agences réparties dans le monde (France, Benelux, Canada et Maroc), IT Link vise les 1000 collaborateurs à l’horizon 2025 pour soutenir sa forte croissance. En 2023, elle a réalisé 73,3 M€ de chiffre d’affaires en croissance de 13,8 %. Elle adresse différents secteurs tels que les transports (autonomes, électriques et connectés), la sécurité des biens et des personnes, la protection de l’environnement, la santé, les industries intelligentes et l’efficience opérationnelle des organisations.

La salle des fêtes de Ramonville-Saint-Agne accueille le mercredi 24 avril de 14 heures à 17h30 une nouvelle édition du Forum Jobs d’été organisé par le Sicoval. Rendez-vous annuel devenu incontournable, ce forum a pour vocation d’accompagner les jeunes âgés de 18 à 29 ans avec ou sans expérience dans leurs recherches d’un job et de faciliter la mise en relation entre jeunes et entreprises.

Cette année ce sont plus de 400 offres qui seront à pourvoir le 24 avril prochain. Une vingtaine d’entreprises seront présentes parmi lesquelles Decathlon, MacDo, Tommy’s Diner, LIDL, Hôtel Ibis, Burger King, Babychou, Promaid, Aroeven, Profession Sport, TUC… À noter que quelques offres saisonnières seront aussi accessibles aux mineurs.

Des structures d’accompagnement seront également au rendez-vous pour guider les 18-29 ans dans leurs recherches, pour leur apporter informations et bons plans en matière d’emploi, de logement, d’études, d’engagement, de séjours à l’étranger...

Des ateliers CV et lettres de motivation seront proposés par le bureau Info Jeunes du Sicoval à Baziège, Castanet, Escalquens Labastide-Beauvoir, Lacroix-Falgarde et Montlaur, en amont du forum, pour accompagner les jeunes à la recherche d’un job.
Plus d’information en suivant ce lien.

Directeur de l’Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS) à Toulouse, Jean-Philippe Girard a reçu le 18 avril 2024 à Paris le Grand Prix Oberling-Haguenau de la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer.

Ce prix récompense ses découvertes majeures sur le rôle des vaisseaux sanguins HEV dans la mobilisation des défenses immunitaires et l’efficacité des immunothérapies contre les cancers. Ces avancées ont été réalisées par son équipe de recherche à l’PBS, dans le cadre d’un programme labellisé par la Fondation ARC.

Décerné chaque année depuis 2019, en mémoire du professeur Charles Oberling et du docteur Françoise Haguenau, ce prix est doté de 150 000 €. Il a vocation à saluer les les avancées structurantes de la recherche en cancérologie.

Jean-Philippe Girard étudie le rôle des vaisseaux sanguins dans les maladies inflammatoires chroniques et le cancer, un sujet sur lequel il a commencé à travailler à la faculté de médecine d’Harvard à Boston dans les années 1990. Il a notamment découvert la présence, dans les tumeurs, de vaisseaux sanguins très particuliers dits « HEV » pour high endothelial venules qui facilitent l’accès vers les cellules cancéreuses de certains globules blancs, les lymphocytes tueurs, et entrainent ainsi une destruction efficace des tumeurs.

Dans le cadre d’une collaboration avec l’Institut Claudius Regaud, l’équipe du chercheur de l’IPBS a découvert que la survie à 10 ans des patientes atteintes de cancer du sein atteint 80% lorsque la tumeur présente de nombreux vaisseaux HEV, contre 50% lorsque ceux-ci sont peu nombreux.

Le chercheur a mis en lumière le rôle majeur de ces petits vaisseaux, qui constituent la principale porte d’entrée des lymphocytes dans les tumeurs, dans le cadre de certains types d’immunothérapie. Il a notamment prouvé que l’augmentation de la fréquence et la maturation de ces vaisseaux dans les tumeurs améliore l’efficacité de ces traitements.

La société pharmaceutique montpelliéraine Medincell annonce, dans un communiqué daté du 16 avril 2024, la signature d’un accord stratégique de co-développement et de licence avec AbbVie. La société d’origine nord américaine, qui emploie près de 50 000 collaborateurs dans 70 pays dont un peu moins d’un millier en France, développe des traitements dans différents champs thérapeutiques : l’immunologie, l’ophtalmologie, les neurosciences, la virologie, la médecine esthétique et l’oncologie.

Ce partenariat portera sur le développement d’une nouvelle génération de traitements injectables à action prolongée. Six nouveaux traitements pourraient ainsi naitre de cette collaboration, le premier candidat médicament ayant déjà été sélectionné.

Suivant les termes de cet accord, Medincell sera en charge des activités de formulation et des études précliniques. AbbVie financera et conduira, pour sa part, le développement clinique de chaque programme et aura la charge de l’approbation réglementaire, de la fabrication et de la commercialisation.

L’entreprise montpelliéraine recevra un paiement initial de 35 M€ et pourrait encaisser jusqu’à 1,9 Md$ en paiements d’étapes et de commercialisation (315 M€ pour chaque programme).

Pour Christophe Douat, président du directoire de Medincell, « ce partenariat avec l’une des sociétés pharmaceutiques les plus innovantes et performantes s’annonce passionnant. En avril 2023, Medincell est entrée dans une nouvelle période de croissance après l’approbation par la FDA du premier produit utilisant notre technologie. Le véritable potentiel des traitements injectables à action prolongée est de plus en plus reconnu. »

Medincell développe des médicaments injectables à action prolongée dans de nombreux domaines thérapeutiques. Ils combinent des principes actifs avec la technologie innovante BEPO développée par Medincell, qui contrôle la libération d’un médicament à un niveau thérapeutique pendant plusieurs jours, semaines ou mois à partir de l’injection sous-cutanée ou locale. Le premier traitement basé sur cette technologie, destiné au traitement de la schizophrénie, a été approuvé par la FDA en avril 2023, et est maintenant distribué aux États-Unis par Teva sous le nom Uzedy. Plus récemment, l’entreprise héraultaise a annoncé avoir obtenu de Unitaid, l’agence de santé mondiale, une nouvelle subvention de 6 M$ pour poursuivre le développement d’un nouveau traitement dans la lutte contre le paludisme.

B2M, le Campus Formation de la CCI Tarn-et-Garonne, organise le 23 mai dans ses locaux, 61 avenue Gambetta à Montauban, son traditionnel job dating, l’occasion pour les entreprises du territoire de trouver les alternants qui les accompagneront dans leurs différents projets à la rentrée prochaine. L’évènement est ouvert aux inscrits de toutes les filières proposées en alternance par B2M du BTS au Master. Les étudiants sont informés des besoins de recrutement des entreprises en amont. Le jour J, pendant deux heures, étudiants et entreprises se rencontrent en face-à-face.
Les entreprises qui ont des projets de recrutement et souhaitent participer à ces rencontres doivent s’inscrire en suivant ce lien.

B2M, le Campus Formation de la CCI Tarn-et-Garonne, propose, à travers ses trois pôles, une offre de formations diplômantes et professionnalisantes. En alternance, ce sont 13 formations de Bac+2 à Bac+5 qui sont ouvertes en marketing, commerce, distribution, lean management et qualité, achats, logistique, RH ou encore comptabilité. Mais B2M c’est aussi une business school à taille humaine, l’École de Gestion et de Commerce (EGC) de la CCI, qui forme à la polyvalence, l’entrepreneuriat et au management avec une dimension internationale. B2M c’est enfin une offre de formation continue dans 13 domaines, de la direction d’entreprise à la Qualité, hygiène, sécurité & environnement en passant par l’import-export ou encore les ressources humaines.

Le metteur en scène Aurélien Bory vient d’être nommé directeur du Théâtre Garonne, à Toulouse. Après des études de physique, il a travaillé dans le domaine de l’acoustique architecturale avant de se consacrer aux arts de la scène. Formé notamment au Lido, Centre des arts du cirque de Toulouse, le scénographe a fondé sa propre compagnie, la Cie 111, en 2000.

Aurélien Bory développe un théâtre physique, singulier et hybride, à la croisée de nombreuses disciplines. De La trilogie sur l’espace, projet fondateur marqué par la collaboration avec le new-yorkais Phil Soltanoff, à sa dernière création Invisibili (2023, Palerme) en passant par Espæce (2016) créée pour la 70e édition du Festival d’Avignon, ses spectacles sont largement diffusés sur la scène internationale.

À la tête du Théâtre Garonne, il succède à Alexa Fallou, directrice par intérim. Scène européenne subventionné par le ministère de la Culture, la Drac Occitanie, la Ville de Toulouse, le Département de la Haute-Garonne et la Région Occitanie, le Théâtre Garonne a été fondé en 1988 par Jacky Ohayon au cœur d’une ancienne station de pompage des eaux. Il est devenu en quelques années un foyer très actif de la création théâtrale, chorégraphique et musicale européenne.

La Chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) Occitanie organise, les 24 et 26 avril, la première édition des Rendez-vous de la reconversion. Accompagnement, conseil, financement, formation : dans les 13 départements, des conseillers experts répondront aux questions des personnes qui souhaitent se reconvertir dans l’artisanat.

« Choisir de se reconvertir dans l’artisanat, c’est s’offrir la possibilité d’exercer un métier-passion là où on a choisi de vivre, souligne Joseph Calvi, président de la CMA Occitanie. Première entreprise d’Occitanie, l’Artisanat est un secteur dynamique qui offre des perspectives d’avenir à tous, quel que soit son parcours professionnel. »

Les 24 et 26 avril, les CMA du territoire accueilleront dans leurs locaux les personnes qui se seront inscrites en ligne via ce lien pour la Haute-Garonne (rendez-vous à l’IFCMA, boulevard de l’Embouchure à Toulouse et à l’ESM, chemin de la Pyramide à Muret) et en cliquant ici pour le Tarn-et-Garonne. Attention, pour réserver son rendez-vous, il faut s’inscrire avant le 19 avril.